Master Arts, lettres et civilisations

Le cours a pour objectif de rendre sensible, à travers l'analyse de nombreux exemples, l'importance et la diversité des relations entre la culture contemporaine et les multiples aspects du patrimoine (monumental, artistique, littéraire ou naturel ; antique ou moderne ; français, européen ou mondial).

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Ouvert seulement aux étudiants non francophones

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Cet atelier d’écriture scientifique vise à accompagner la rédaction du mémoire de recherche sur les deux années du master ALC (parcours LCC). Il donne des outils pour construire un discours scientifique argumenté et pertinent. Il s’appuie sur les travaux effectués par les étudiants et sur les demandes exprimées par ceux-ci. Au premier semestre, l’atelier se concentre sur les premières étapes de la mise en oeuvre d’une recherche : prise en compte du champ scientifique et institutionnel dans lequel s’inscrit sa propre recherche, capacité à élaborer un corpus, formuler un sujet et le problématiser, maîtrise de la démarche de recherche documentaire et de ses outils, premiers éléments de présentation formelle, première formulation des hypothèses de recherche.

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Ce séminaire s’attache à décrire les enjeux de la création contemporaine, à travers une analyse des publics et des supports de la littérature d’aujourd’hui. À partir d’exemples concrets, le séminaire aura pour objectif de saisir les enjeux éditoriaux de la littérature et d’analyser l’importance de la construction médiatique de l’auteur. Les théories contemporaines permettront aussi de décrire les conditions concrètes de la création : littérature hors du livre, résidence d’écrivain.e, tournant festivalier, recherche-création… Ce séminaire s’adossera à la rentrée littéraire, pour confronter ces outils théoriques aux livres les plus récents, et si possible en lien avec l’invitation d’un écrivain.e dans le cadre du prix France Culture-Télérama des étudiants.

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Un programme différent est proposé chaque année (voir la brochure du master LCC en ligne pour l’année en question), ce qui permet, si l’étudiant le souhaite, de suivre cet enseignement au semestre 7 et aussi une 2^nde fois au semestre 9, quel que soit le type de master (master LCC ou master LLCER parcours études italiennes/études françaises). Le sujet choisi permet à la fois d’explorer des aspects littéraires et culturels de la période médiévale. Il donne la priorité à la littérature en français, mais peut aussi aborder la littérature italienne et proposer quelques ouvertures sur d’autres littératures européennes. Les traités savants, philosophiques ou scientifiques, qui sont envisagés, appartiennent, eux, à l’Europe entière. Dans tous les cas, les textes sont accompagnés d’une traduction en français moderne. Le Moyen Âge sera parfois mis en perspective avec le devenir des œuvres et/ou des idées et représentations jusqu’à nos jours.

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Le séminaire propose de découvrir le contexte littéraire et culturel de la Renaissance et/ou de l’âge classique en explorant une question à travers des œuvres intégrales ou une anthologie de textes. Il s’agit de comprendre la production d’un ou de plusieurs auteurs à la lumière des modes de pensée et d’appréhension du monde de la période, telle que la reflètent des documents divers (textes théoriques, documents relatifs à l’histoire du livre, pièces iconographiques, etc.). Dans une démarche d’initiation à la recherche, chacun est invité à formuler des hypothèses et à proposer sa propre interprétation des textes et des documents soumis à la réflexion. L’apport d’informations et de références personnelles est bienvenu.

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Questionnements sur des sujets transversaux à la littérature, la philosophie, l’histoire et la société au XVIIIe siècle (et replacés dans le cadre élargi de la littérature classique du XVIe au XVIIIe siècles).

Confrontation des textes avec différentes méthodes d’analyse ou hypothèses interprétatives.

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Le séminaire offre un parcours dans la littérature du XIXe siècle autour d’une problématique qui change chaque année. Il s’agit d’interpréter le fait littéraire en résonance avec les enjeux culturels, artistiques, socio-politiques voire scientifiques de la période. Le questionnement est conduit à partir d’une anthologie de textes (mais également de documents à caractère iconographique et/ou médiatique) fournie en début de semestre, en prenant appui sur quelques œuvres majeures tout en accordant également une place à des corpus moins fréquentés.

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« Le nouveau n’est pas dans ce qui est dit, mais dans l’événement de son retour ». C’est ainsi que Michel Foucault définit le « nouveau » lors de sa leçon inaugurale au Collège de France en 1970. Une telle définition s’applique parfaitement au paysage culturel et intellectuel dans lequel se développent aujourd’hui les théories postcoloniales et leurs ramifications, à savoir les subaltern studies, les gender studies, les gay and queer studies, les études décoloniales et intersectionnelles. Depuis la parution de L’Orientalisme d’Edward Saïd en 1978, c’est tout un champ discursif interdisciplinaire qui s’est constitué autour d’une lecture renouvelée de l’héritage impérial et colonial de l’Occident. Définies à l’aube du XXI^e siècle comme « théories voyageuses » (Travel theory), ces études s’inscrivent aujourd’hui dans une recherche globale, plurilingue et dénationalisée.

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Ce cours développe une approche pluridisciplinaire faisant dialoguer la littérature avec les autres arts : peinture, architecture, photographie ou cinéma.

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Chaque année, ce séminaire propose une traversée des écritures contemporaines, selon une perspective transversale permettant tout ensemble de creuser une problématique spécifique (écritures de l’enquête, écopoétique, imaginaires du cinéma…) et d’envisager un large panorama des écrivain.e.s d’aujourd’hui. La perspective choisie change chaque année, pour permettre aux étudiant.e.s de consolider leurs connaissances et de découvrir de nouveaux enjeux. Le séminaire articule problématique transversale, lecture anthologique d’extraits et parcours dense de quelques œuvres capitales.

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Méthodologie de la dissertation en lien avec différents genres littéraires et les 6 œuvres au programme ; analyse littéraire et explication de texte, en référence aux notions critiques figurant au référentiel des collèges et des lycées

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Méthodologie de la dissertation en lien avec différents genres littéraires et les 6 œuvres au programme ; analyse littéraire et explication de texte, en référence aux notions critiques figurant au référentiel des collèges et des lycées

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Après un panorama général sur la littérature de jeunesse (son histoire, ses spécificités, son édition contemporaine) et l’étude de sa place dans le contexte scolaire et institutionnel, la réflexion mettra l’accent sur certains auteurs et certaines œuvres de genre et nature différents, pour la jeunesse ou que les jeunes lecteurs, enfants et adolescents, se sont appropriés : romans, albums, recueils de contes, de nouvelles, de poèmes, pièces de théâtre, bandes dessinées.

Ce séminaire se propose également de mettre en lumière la littérature de jeunesse selon une perspective littéraire, éditoriale et scolaire (étude des programmes des cycles 1 et 2), en visant également le choix des textes et des activités didactiques, herméneutiques, analytiques à proposer au jeune lecteur, enfant et adolescent, en prenant en compte l’apport du numérique dans les réalisations récentes aussi.

Obligatoire pour les étudiant·e·s qui suivent l'option « Didactique de la littérature » du master ALC, ce séminaire se développe autour de l’étude de la littérature de jeunesse dans une perspective littéraire, éditoriale et scolaire (préparation aux concours pour l’enseignement aux cycles 1 et 2) et en complémentarité avec le séminaire « Littérature de jeunesse internationale… », construit autour d’une perspective comparatiste et adressé également aux étudiants qui préparent l’Agrégation.

Ce séminaire est également ouvert aux autres étudiant·e·s du master ALC intéressé·e·s par des questions d’enseignement et aux étudiant·e·s du master « Métiers du livre et de l’édition » et du master MEEF.

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Il est destiné à un public de futurs enseignants, chercheurs ou professionnels de la culture et du livre (éditeurs, libraires, bibliothécaires, documentalistes ou médiateurs culturels). Le programme porte sur des œuvres de la littérature pour la jeunesse (enfants, adolescents ou jeunes adultes), en français ou en traduction, et peut inclure l’analyse de leurs illustrations ou autres transpositions artistiques (cinéma, BD, dessin d’animation, théâtre, opéra), de leurs adaptations ou réécritures.

Ces textes sont un point de départ pour se familiariser avec les méthodes comparatistes : spécificités de la lecture en traduction, de la recherche bibliographique dans le domaine français et étranger pour la jeunesse, travail sur des extraits d’œuvres ou de critiques en langue étrangère (accessible), réflexion sur les transferts culturels, la réception et la transmission des œuvres. Sur le plan de l’interprétation, l’analyse sera menée à travers une approche pluridisciplinaire combinant analyse littéraire, anthropologique, psychanalytique, didactique, sémiotique et inter-médiale…

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Depuis les propositions de François Bon dans Tous les mots sont adultes, les ateliers d’écriture sont devenus en une vingtaine d’années en France un espace privilégié pour découvrir et approfondir la pratique d’écriture et de lecture. De manière complémentaire aux exercices académiques, la participation à l’atelier rend sensible à une écoute concrète des textes. Les ateliers permettent de développer de manière suivie et en petits groupes un projet d’écriture personnel et de se familiariser aux multiples stratégies pour « entrer en écriture ». Ces ateliers sont de préférence animés par un.e écrivain.e, afin d’entrer en dialogue avec son œuvre et sa pratique concrète d’invention.

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Ce cours montre comment la recherche universitaire peut être mobilisée dans la vie professionnelle, que ce soit la recherche théorique ou la recherche en didactique (qui s’interroge sur la transposition des savoirs dans la classe). On abordera ici six problématiques présentes dans les travaux récents de la didactique de la littérature.

Les finalités de la transmission de la littérature :  mémoire individuelle de la littérature, « bibliothèque intérieure », appropriation, mémorisation, intériorisation, connaissance, culture,

Les pouvoirs et les fonctions de la littérature dans la formation individuelle et dans l’imaginaire collectif.

Les spécificités de la lecture littéraire.

Le rôle du lecteur dans la construction du sens.

Les liens, correspondances, échos entre lecture et écriture.

« L’institution de la littérature » : œuvres classiques, œuvres patrimoniales, œuvres résistantes ou complexes, contextualisation et actualisation.

Mutualisé avec le parcours MEEF second degré, ce cours est plus particulièrement destiné aux futurs enseignants, ou aux futurs passeurs de livres.

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Depuis les propositions de François Bon dans Tous les mots sont adultes, les ateliers d’écriture sont devenus en une vingtaine d’années en France un espace privilégié pour découvrir et approfondir la pratique d’écriture et de lecture. De manière complémentaire aux exercices académiques, la participation à l’atelier rend sensible à une écoute concrète des textes. Les ateliers permettent de développer de manière suivie et en petits groupes un projet d’écriture personnel et de se familiariser aux multiples stratégies pour « entrer en écriture ». Ces ateliers sont de préférence animés par un.e écrivain.e, afin d’entrer en dialogue avec son œuvre et sa pratique concrète d’invention.

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Ce cours montre comment la recherche universitaire peut être mobilisée dans la vie professionnelle, que ce soit la recherche théorique ou la recherche en didactique (qui s’interroge sur la transposition des savoirs dans la classe). On abordera ici six problématiques présentes dans les travaux récents de la didactique de la littérature.

Les finalités de la transmission de la littérature :  mémoire individuelle de la littérature, « bibliothèque intérieure », appropriation, mémorisation, intériorisation, connaissance, culture,

Les pouvoirs et les fonctions de la littérature dans la formation individuelle et dans l’imaginaire collectif.

Les spécificités de la lecture littéraire.

Le rôle du lecteur dans la construction du sens.

Les liens, correspondances, échos entre lecture et écriture.

« L’institution de la littérature » : œuvres classiques, œuvres patrimoniales, œuvres résistantes ou complexes, contextualisation et actualisation.

Mutualisé avec le parcours MEEF second degré, ce cours est plus particulièrement destiné aux futurs enseignants, ou aux futurs passeurs de livres.

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Suivant une approche historique, le cours à pour objectif de mettre en évidence les différentes formes d'innovations sociales et techniques associées au développement des technologies de l'information et de la communication depuis le XVIIIe siècle. Ce parcours historique permet de souligner les continuités et les ruptures dans l'innovation. Il est aussi l'occasion de revenir sur les approches théoriques de la diffusion des techniques, de leur usage social et de la convergence numérique des technologies et des médias.

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Ce cours, construit autour de séances thématiques, vise à apporter les connaissances de base aux étudiants concernant les grands enjeux des Sciences de l’information et de la communication. À l’issue de cette formation, les étudiants connaîtront les principaux concepts des théories de la communication, en particulier de l’influence médiatique et de la construction du public, ainsi que les questions actuelles des Sciences de l’Information en abordant, entre autre, les notions d’Information Literacy, de web social et sémantique, de document numérique, d’indexation et d’identité numérique.

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Le cours vise à présenter le profil des publics qui fréquentent les lieux de culture (bibliothèques, musées, librairies...). Quelles sont leurs caractéristiques ? Comment perçoivent-ils une œuvre ? Quelles sont les influences ?...

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Choisir deux cours parmi ceux de l'offre REACH

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2 cours au choix dans l'offre du master ALC ou Langue vivante étrangère n°2 ou latin ou grec

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Quel point commun entre un roman graphique, une correspondance d’écrivain, un manuscrit médiéval enluminé, une série télévisée inspirée d’un personnage littéraire, un hyperrécit ou une autofiction réalisée via un blog ? Ce sont des œuvres, des productions artistiques intimement liées à leur conditionnement médiatique. On prendra le terme de « media » non dans son sens restreint d’organes d’information et de communication, mais dans son acception la plus large, caractérisant tous les types d’objets techniques ou matériels qui servent de médiation dans la communication et la créativité humaines en permettant d’enregistrer, de multiplier, de transmettre, de diffuser des idées, des phrases, des sons, des images, etc. (Jussi Parikka).

L’attention aux media forme aujourd’hui une nébuleuse de recherches dont les présupposés et les objectifs ne sont pas unifiés, comme le signalent d’ailleurs les multiples graphies du terme qui coexistent : médias, medium, media. La médiologie, les recherches intermédiales, l’archéologie des media, l’histoire des supports médiatiques, la médiopoétique constituent des approches sensiblement différentes. Ce cours n’a pas vocation à les examiner toutes, mais il vise à interroger ce que l’on pourrait appeler l’existence médiatique de la littérature et en particulier :

-le rôle joué par les médias / media et les supports dans l’invention, la conception et la formalisation des œuvres littéraires [par exemple le rôle de la page, de l’écran, de certaines techniques d’impression et de reproduction (gravure, lithographie, photographie)].

-la manière dont l’imaginaire technique et médiatique (contemporain ou ancien) a pu nourrir la créativité littéraire et en inspirer les recherches.

-la façon dont les media conditionnent la réception et les modalités d’appropriation, de compréhension et d’interprétation des œuvres. Les mécanismes de la presse par exemple, qui s’enracinent dans les gazettes au XVIIIe siècle avant d’investir au siècle suivant toutes les facettes de la vie publique ont un impact indéniable sur le fait littéraire et artistique. Plus encore aujourd’hui, avec le développement du numérique, ils confrontent la littérature aux phénomènes de périodicité, aux logiques de l’événement et de l’exposition médiatique, aux emballements de la viralité, aux jeux de la sérialité.

-la façon dont ces media affectent les modes d’existence dans le temps des œuvres : intégrer la question médiatique, c’est lire l’existence des œuvres dans le temps long au travers d’effets d’éclipse, de reprise, de latence. C’est interroger leur plasticité à la façon dont elles se prêtent à de multiples transferts, citations et adaptations.

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Ouvert seulement aux étudiants non francophones

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Stage de 70h minimum

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Cet atelier d’écriture scientifique vise à accompagner la rédaction du mémoire de recherche en première année de master ALC (parcours LCC). Il donne des outils pour construire un discours scientifique argumenté et pertinent. Il s’appuie sur les travaux effectués par les étudiants et sur les demandes exprimées par ceux-ci.

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Cycle de rencontres avec des acteurs culturels locaux ou régionaux représentant la diversité des métiers, des institutions et des parcours professionnels.

Dans la continuité du semestre 7, ce cycle se compose de deux matières :

• Conférences (3 x2h) accessibles à l’ensemble des parcours de la mention ALC.
• Rencontres professionnelles (14h) réservées au parcours Diffusion de la culture

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Humanités Numériques et recherche en lettres a pour objectif de donner un aperçu aux étudiants des potentiels des outils numériques et des sciences ouvertes dans leurs démarches scientifiques. Le cours permettra en 6h aux étudiants de connaître les bonnes pratiques, la philosophie, les institutions et les outils principaux qu’ils pourront mettre en œuvre pour mener à bien leur projet.

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La première année de Master s’achève avec la soutenance d’un rapport de recherche, travail préparatoire pour le mémoire de recherche de Master 2

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Poursuite des enseignements du sem.1

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Méthodologie de la dissertation en lien avec différents genres littéraires et les 6 œuvres au programme ; analyse littéraire et explication de texte, en référence aux notions critiques figurant au référentiel des collèges et des lycées

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Méthodologie de la dissertation en lien avec différents genres littéraires et les 6 œuvres au programme ; analyse littéraire et explication de texte, en référence aux notions critiques figurant au référentiel des collèges et des lycées

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 Ce séminaire présentera les recherches récentes en didactique de la littérature.

Paradigme du sujet lecteur et réflexion sur les lectures actualisantes contribuent à transformer les lectures scolaires de l’école primaire à l’université. Le cours envisagera ces conceptions nouvelles qui font la part belle aux investissements du lecteur empirique à travers certains dispositifs pédagogiques ré-orientés à cet effet (questionnaires, écriture d’invention, carnet de lecture, débat interprétatif, journal du personnage…) ou d’autres créés ad hoc (autobiographie de lecteur, écriture dans les marges…). Il posera aussi la question du rapport de ces renouvellements à des conceptions plus traditionnelles du sens (lecture-compréhension dans le premier degré ; lecture analytique dans le second degré).  

Cette UE sera donc consacrée à l’approfondissement des connaissances dans le champ de la recherche en didactique de la discipline des Lettres : langue et littérature.

Elle laissera également une place à la rédaction du mémoire pour les étudiants en MEEF et les étudiants en master recherche ALC LCC option didactique de la littérature :
- Étude d’articles et d’ouvrages de recherche issus de différentes disciplines  étudiant l’enseignement du français au collège et au lycée ; présentation par l’enseignant de recherches en cours et échanges collectifs.
- Étude d’articles et d’ouvrages ciblés sur la question de recherche de l’étudiant, en lien avec la rédaction de l’état de l’art.

Présentation de différentes méthodologies, de différents protocoles possibles pour les recherches exploratoires.

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Mutualisé avec le master MEEF SD de Lettres, ce cours de 15 heures propose une exploration des liens entre texte littéraire et arts dans une perspective d’enseignement de la littérature. Il comporte notamment une analyse de l’inscription progressive de l’image dans les programmes scolaires de l’enseignement de la littérature (à la croisée de l’EMC, du français, de l’histoire et de l’histoire des arts). Il s’interroge sur la place laissée dans ces programmes à l’image fixe (peinture/photographie) et à l’image mobile (place croissante du cinéma et du cinéma d’animation dans les ressources institutionnelles). Il questionne la manière dont l’enseignement de la littérature peut mobiliser aussi d’autres formes artistiques afin d’encourager la créativité de la réception lectorale.

Enfin, ce cours montre comment les recherches en didactique de la littérature centrées autour du paradigme du sujet lecteur intègrent ce dialogue entre les arts, en reliant notamment, dans de nombreuses propositions, la littérature à la peinture, à la photographie, au cinéma, à la musique.

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Parmi les différents courants de la didactique de l’écriture, les ateliers d’écriture occupent une place importante depuis longtemps, aussi bien dans la formation que dans les recherches. Certains sont organisés dans des perspectives littéraires comme les travaux de l’OULIPO ou ceux, contemporains, proposés par François Bon, d’autres relèvent de savantes constructions théoriques comme la « Textique » de J. Ricardou qui influencera les propositions de C. Oriol-Boyer, d’autres encore sont construits dans des perspectives directement éducatives comme les dispositifs élaborés par le groupe d’Ecouen ou le Groupe Français d’Education Nouvelle (GFEN). Sont ainsi à disposition des enseignant·e·s ou des médiateurs culturels des conceptions et des démarches variées qui permettent d’explorer le vaste domaine des écritures littéraires.

Le cours amènera à découvrir, à interroger et à tester ces différentes pratiques et leur possible transposition ou adaptation à des fins scolaires ou associatives.

On s’interrogera notamment sur la posture de l’enseignant ou du formateur face aux apprentis scripteurs et sur la production de consignes. L’évaluation sera un dossier comportant notamment la conception d’un atelier d’écriture et des textes créatifs variés.

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Abordant des objets littéraires particuliers (les manuscrits de travail des écrivains, les archives de la création littéraire) et se focalisation davantage sur l’« écrire » que sur l’écrit, ce séminaire comporte d’abord une partie théorique (comment, avec quels outils conceptuels, dans quel but analyser un texte mouvant, un processus créateur ?), et explore ensuite un ou deux corpus d’auteur(s) afin que les enjeux de cette approche puissent être perçus sur des cas spécifiques.

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Conçu en articulation avec le séminaire « Genèse de la création littéraire », cet atelier a pour but d’approcher concrètement le geste d’écriture et de création à travers des études de cas. Il permettra de pénétrer dans la logique créatrice d’artistes ou d’écrivains en participant à un travail collectif (transcription de manuscrits, présentation d’un chantier de création, etc.). Les projets proposés varieront en fonction des années : ils pourront concerner des œuvres modernes, contemporaines ou plus anciennes. Ils pourront également intégrer une dimension artistique et intermédiale en lien avec la littérature. Enfin, les projets pourront être adossés aux activités de recherche de l’UMR Litt&Arts ou du programme GECLA (Genèse de la Création littéraire et artistique) de la MaCI.

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Abordant des objets littéraires particuliers (les manuscrits de travail des écrivains, les archives de la création littéraire) et se focalisation davantage sur l’« écrire » que sur l’écrit, ce séminaire comporte d’abord une partie théorique (comment, avec quels outils conceptuels, dans quel but analyser un texte mouvant, un processus créateur ?), et explore ensuite un ou deux corpus d’auteur(s) afin que les enjeux de cette approche puissent être perçus sur des cas spécifiques.

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Conçu en articulation avec le séminaire « Genèse de la création littéraire », cet atelier a pour but d’approcher concrètement le geste d’écriture et de création à travers des études de cas. Il permettra de pénétrer dans la logique créatrice d’artistes ou d’écrivains en participant à un travail collectif (transcription de manuscrits, présentation d’un chantier de création, etc.). Les projets proposés varieront en fonction des années : ils pourront concerner des œuvres modernes, contemporaines ou plus anciennes. Ils pourront également intégrer une dimension artistique et intermédiale en lien avec la littérature. Enfin, les projets pourront être adossés aux activités de recherche de l’UMR Litt&Arts ou du programme GECLA (Genèse de la Création littéraire et artistique) de la MaCI.

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La littérature traduite occupe une place centrale dans l’expérience de lecture de nombre d’entre nous, dans l’expérience d’écriture de nombre d’écrivain·es et, plus largement, dans le champ littéraire. Elle est pourtant rarement abordée comme telle dans les études littéraires, l’œuvre en langue originale restant l’étalon auquel on mesure la « fidélité » de la version traduite. Cet atelier vise à sensibiliser les étudiants, par la pratique, aux enjeux de la traduction littéraire, entendue comme recréation mais aussi comme jeu, avec soi et avec l’autre.

Il est encadré par un enseignant susceptible d’accueillir des intervenants ayant une expérience de la traduction littéraire.

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L’objectif de ce séminaire est de permettre aux étudiants de consolider leur bagage technique (syntaxe, linguistique de l’énonciation, métrique, rhétorique, histoire de la langue...), en articulant une approche générale et surplombante (théorie générale du style, histoire de la discipline et de ses principaux concepts) à l’étude concrète d’extraits littéraires variés. Le séminaire est centré chaque année sur une problématique définie par avance (stylistique de la poésie, stylistique du roman, « faits de langue, faits de style », la notion d’écart en stylistique, stylistique du recueil, stylistique du texte traduit…).

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Parmi les différents courants de la didactique de l’écriture, les ateliers d’écriture occupent une place importante depuis longtemps, aussi bien dans la formation que dans les recherches. Certains sont organisés dans des perspectives littéraires comme les travaux de l’OULIPO ou ceux, contemporains, proposés par François Bon, d’autres relèvent de savantes constructions théoriques comme la « Textique » de J. Ricardou qui influencera les propositions de C. Oriol-Boyer, d’autres encore sont construits dans des perspectives directement éducatives comme les dispositifs élaborés par le groupe d’Ecouen ou le Groupe Français d’Education Nouvelle (GFEN). Sont ainsi à disposition des enseignant·e·s ou des médiateurs culturels des conceptions et des démarches variées qui permettent d’explorer le vaste domaine des écritures littéraires.

Le cours amènera à découvrir, à interroger et à tester ces différentes pratiques et leur possible transposition ou adaptation à des fins scolaires ou associatives.

On s’interrogera notamment sur la posture de l’enseignant ou du formateur face aux apprentis scripteurs et sur la production de consignes. L’évaluation sera un dossier comportant notamment la conception d’un atelier d’écriture et des textes créatifs variés.

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Abordant des objets littéraires particuliers (les manuscrits de travail des écrivains, les archives de la création littéraire) et se focalisation davantage sur l’« écrire » que sur l’écrit, ce séminaire comporte d’abord une partie théorique (comment, avec quels outils conceptuels, dans quel but analyser un texte mouvant, un processus créateur ?), et explore ensuite un ou deux corpus d’auteur(s) afin que les enjeux de cette approche puissent être perçus sur des cas spécifiques.

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Conçu en articulation avec le séminaire « Genèse de la création littéraire », cet atelier a pour but d’approcher concrètement le geste d’écriture et de création à travers des études de cas. Il permettra de pénétrer dans la logique créatrice d’artistes ou d’écrivains en participant à un travail collectif (transcription de manuscrits, présentation d’un chantier de création, etc.). Les projets proposés varieront en fonction des années : ils pourront concerner des œuvres modernes, contemporaines ou plus anciennes. Ils pourront également intégrer une dimension artistique et intermédiale en lien avec la littérature. Enfin, les projets pourront être adossés aux activités de recherche de l’UMR Litt&Arts ou du programme GECLA (Genèse de la Création littéraire et artistique) de la MaCI.

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Abordant des objets littéraires particuliers (les manuscrits de travail des écrivains, les archives de la création littéraire) et se focalisation davantage sur l’« écrire » que sur l’écrit, ce séminaire comporte d’abord une partie théorique (comment, avec quels outils conceptuels, dans quel but analyser un texte mouvant, un processus créateur ?), et explore ensuite un ou deux corpus d’auteur(s) afin que les enjeux de cette approche puissent être perçus sur des cas spécifiques.

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Voir avec le secrétariat du Master Création artistique (Arts du spectacle)

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Conçu en articulation avec le séminaire « Genèse de la création littéraire », cet atelier a pour but d’approcher concrètement le geste d’écriture et de création à travers des études de cas. Il permettra de pénétrer dans la logique créatrice d’artistes ou d’écrivains en participant à un travail collectif (transcription de manuscrits, présentation d’un chantier de création, etc.). Les projets proposés varieront en fonction des années : ils pourront concerner des œuvres modernes, contemporaines ou plus anciennes. Ils pourront également intégrer une dimension artistique et intermédiale en lien avec la littérature. Enfin, les projets pourront être adossés aux activités de recherche de l’UMR Litt&Arts ou du programme GECLA (Genèse de la Création littéraire et artistique) de la MaCI.

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2 cours au choix dans l'offre Reach

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2 EC au choix dans l'offre du master ALC ou LV2 ou latin ou grec ou Langue et style

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En prenant appui sur des productions littéraires et artistiques (cinéma, théâtre, bande dessinée, danse, chansons…) contemporaines, le séminaire se donne pour objectif repenser les notions d’interculturalité et d’altérité à partir des débats contemporains, en en montrant les enjeux et les limites. Cet enseignement vise à familiariser les étudiants avec les questions que les créations culturelles (littéraires et artistiques) posent en termes de rapports entre les cultures, qu’il s’agisse de traditions nationales, de francophonie, de traductibilité linguistique, de domination symbolique, d’imaginaires hégémoniques ou de résistances et d’alternatives émergeant de la création artistique.

Il aborde l’interculturalité à travers deux types de productions, fondamentalement ancrées dans le plurilinguisme et les contacts culturels : celles qui émergent dans les aires francophones et celles qui mettent en jeu la traduction.

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Ouvert seulement aux étudiants non francophones

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Le cours proposera une réflexion sur la théorie de la littérature. Il en évoquera l’essor, depuis la fin du XIX^e siècle et l’ambition, celle de tenir un discours sur le fait littéraire, de le caractériser, d’en proposer des modélisations, d’en penser le rapport au monde et à la société. Le cours cherchera à saisir ces approches interprétatives de la littérature à partir de leurs présupposés épistémologiques et des apports venus des sciences humaines et sociales. À quoi les approches théoriques s’attachent-elles ? à saisir des formes et des genres, à déterminer et apprécier des contenus ? à décrire et interpréter des processus ? à comprendre des mécanismes de lecture, de réception et d’interprétation ?

En proposant un parcours – nécessairement sélectif – parmi les massifs de la théorie littéraire, le cours cherchera également à montrer comment elle peut être un instrument pour l’analyse des textes. Il s’agira d’inviter les étudiantes et les étudiants à s’approprier les propositions théoriques, à les confronter à leurs propres approches des corpus, à en apprécier le potentiel ou les limites.

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Cet atelier d’écriture scientifique vise à accompagner la rédaction du mémoire de recherche sur les deux années du master ALC (parcours LCC). Il donne des outils pour construire un discours scientifique argumenté et pertinent. Il s’appuie sur les travaux effectués par les étudiants et sur les demandes exprimées par ceux-ci. Au troisième semestre, l’atelier se concentre sur les exigences de production d’un document long : pratiques rédactionnelles, gestion des notes dans l’argumentation, stratégies démonstratives (attention portée aux passages introductifs, aux transitions, aux phases conclusives). Il pourra également aborder la question des annexes.

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En Master 2, les étudiantes et étudiants sont invités à participer aux activités de recherche de l’UMR Litt&Arts. Il s’agit des séminaires de recherche avancée des centres, spécialisés dans une période historique (de l’antiquité à l’extrême contemporain), dans une approche disciplinaire ou des objets de recherche spécifiques (comparatisme, rhétorique, génétique textuelle, etc.). Il peut s’agir également des colloques, conférences, ateliers et journées d’études organisés par le laboratoire.

Les séances de séminaire permettent d’appréhender les enjeux de la recherche contemporaine, de saisir les démarches méthodologiques adaptées aux objets d’enquête, d’échanger avec des spécialistes. Les activités du laboratoire offrent également un aperçu sur la vie scientifique, le métier de chercheur, l’animation de la recherche (organisation de colloques, de journées d’études, de conférence). Elles permettent enfin d’être en contact avec l’ensemble des acteurs de la recherche (chercheurs et enseignants-chercheurs, ingénieurs de recherche, personnel de gestion et d’administration, etc.).

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Un programme différent est proposé chaque année (voir la brochure du master LCC en ligne pour l’année en question), ce qui permet, si l’étudiant le souhaite, de suivre cet enseignement au semestre 7 et aussi une 2^nde fois au semestre 9, quel que soit le type de master (master LCC ou master LLCER parcours études italiennes/études françaises). Le sujet choisi permet à la fois d’explorer des aspects littéraires et culturels de la période médiévale. Il donne la priorité à la littérature en français, mais peut aussi aborder la littérature italienne et proposer quelques ouvertures sur d’autres littératures européennes. Les traités savants, philosophiques ou scientifiques, qui sont envisagés, appartiennent, eux, à l’Europe entière. Dans tous les cas, les textes sont accompagnés d’une traduction en français moderne. Le Moyen Âge sera parfois mis en perspective avec le devenir des œuvres et/ou des idées et représentations jusqu’à nos jours.

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