Licence Géographie et aménagement

L'UE "Découverte de l'information géographique I" a pour objectif de définir les notions de cartographie et de carte, elle présente les différents domaines d’application et une réflexion sur le rôle et le poids des cartes dans nos représentations sociales de notre environnement. Et aussi proposé une histoire de la cartographie via une chronologie montrant l’évolution de la connaissance du monde et des techniques, de l’antiquité aux outils de télédétection contemporain. Puis sont abordés une approche de la géodésie et du géo-référencement, analysant successivement les notions de la forme de la terre (du géoïde à l’ellipsoïde), des systèmes de projection,...,  enfin, une approche de la sémiologie graphique (la grammaire de la carte) permet après une définition et l’exposé des principes généraux, de traiter des variables statistiques et de leurs modes de représentations graphiques.

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L’espace est produit par les différentes sociétés : elles habitent, produisent, circulent et modèlent l’espace en fonction de leurs cultures et de leurs valeurs politiques. La géographie humaine identifie ces formes et permet de comprendre les processus qui leur donnent naissance.

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Cette UE aborde l'histoire des statistiques, en présente les sources, puis elle souligne l'enjeu de la production, et de la critique de données pour le géographe. Par une familiarisation du maniement de logiciels dédiés, les traitements univariés sont présentés, ainsi que leur représentation cartographique et leur analyse.

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Ce cours est une introduction à l’urbanisme et au projet urbain, autour des enjeux contemporains des villes que sont l’habitat, la santé, l’énergie, l’alimentation, la participation... Il vise à transmettre aux étudiantes et aux étudiants un vocabulaire spécifique, une manière d’observer et de penser les aménagements urbains par le projet. Le cours se concentre sur l’échelle de la ville et de ses quartiers pour penser leurs spécificités par rapport aux aménagements de territoires plus vastes et de leurs relations (étudiés par ailleurs dans les CM de « production de l’espace » et « le territoire et ses acteurs »). Le cours s’appuie sur des exemples de villes françaises et européennes pour comprendre comment, de manière opérationnelle, les enjeux contemporains sont traités différemment en fonction des lieux, des histoires, des habitants…
En lien avec le TD, cette UE est également une introduction aux pratiques et savoir-faire de l’aménagement urbain. Une première expérience de penser par le projet sera la fabrique d’une maquette du quartier Flaubert. Récemment aménagée, cette ZAC sera l’occasion de spatialiser les enjeux de la ville contemporaine et de comprendre sur le terrain les questions qui se posent autour des choix d’aménagement. Pour les étudiant.es, il s’agira d’expérimenter les relevés de terrain, les rencontres habitantes, le travail en équipe et en atelier, et d’apprendre à fabriquer une maquette en choisissant les représentations qui conviennent aux enjeux et aux questions qu’ils/elles souhaitent mettre en avant.

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Cette UE initie à une approche de l'espace des sociétés par les acteurs qui s'y déploient, y agissent, et ce faisant le produisent. En mettant la notion d'acteurs au centre de la démarche géographique, il s'agit de doter les étudiants de repères théoriques et de les amener à adopter des réflexes d'analyse pour leur permettre comprendre l'espace des sociétés comme un produit, un construit. Chaque cours s'appuiera sur des exemples issus de l'actualité.

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L'eau est un élément vital pour le développement des sociétés mais, en excès, l'eau est également un élément à risque.
Cette UE permettra aux étudiants de déchiffrer les mécanismes à l'origine des grandes problématiques sociétales liées à l'eau (ressource, aléas ou contaminations).
Après un cours introductif, l'UE s'organisera autour d'un cycle de conférences données par des spécialistes.

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L'UE "dynamiques des populations" analyse la répartition de celles-ci, leurs évolutions dans le temps, les inégalités (hommes/femmes par exemple) et les outils d'analyse pour mieux comprendre les enjeux contemporains de la démographie. Nous nous intéresserons aussi à la fabrication des politiques publiques de santé et d'étude de populations.

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Dans la continuité des enseignements méthodologiques de L1, cette UE abordera les méthodes et outils de création et traitement de l'information géographique, à travers des enseignements couplés de cartographie et de statistiques de niveau intermédiaire (bivariées).

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Ce cours fait un point sur les causes et évolutions récentes du climat (bilan radiatif, effet de serre, température, risques météo-climatiques), leurs forçages sur les écosystèmes, leurs impacts sur les activités et organisations anthropiques (espaces urbains, activités agricoles, santé), ainsi que sur le cadre scientifique et règlementaire international orienté vers l’adaptation, par exemple en lien avec les travaux du GIEC.

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Une fois la notion d’institutions territoriales définie, l’objectif de l’enseignement est de familiariser les étudiants avec les différentes institutions territoriales françaises. Chaque niveau d’institutions (État, régions, départements, communes) est abordé du point de vue de ses caractéristiques géographiques, de son fonctionnement et de ses responsabilités notamment en matière d’aménagement, de développement territorial et d’environnement. Les évolutions tant spatiales qu’organisationnelles (décentralisation, intercommunalité), la capacité d’action des institutions territoriales sont analysées à travers la question des échelles, des espaces (taille, périmètre) et des moyens techniques, financiers et politiques. 

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L’Atelier « Observation et analyse d’un territoire » a pour objectif de s’enquérir de problématiques d’aménagement et/ou de développement territorial à partir d’une expérience de terrain. 
Cet atelier s’intéresse aux contextes territoriaux (géographie, organisation de l’espace, dynamiques territoriales), aux questions d’organisations territoriales (dispositifs d’actions, politiques publiques et cadres de l’action), aux acteurs (institutionnels, socio-professionnels, associatifs, habitants-usagers), aux projets (intentions, initiatives portés par les acteurs du territoire). 
L’objectif de l’atelier est de s’intéresser et de s’initier à l’élaboration de propositions de projet sur une problématique locale (aménagements urbains, projet local) choisie et élaborée avec les acteurs du territoire d’accueil. 
L’atelier s’organise en 3 séquences : une première séquence organisée en TD à l’IUGA permet de saisir le contexte, la problématique et la méthodologie de projet ; la seconde, organisée sur le terrain pendant trois jours permet de procéder à des temps d’observation de terrain, de rencontres d’acteurs, d’enquêtes, à des temps de formalisations et synthèses, ainsi qu’à des temps de création et restitution publique d’observations et pistes d’actions. Une dernière séquence consiste à l’élaboration outre la restitution orale in situ à la formalisation sous forme de poster et mini dossier..

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Il s’agit d’apprendre aux étudiants les bases des principaux concepts théoriques de la géographie économique, de ses relations aux politiques d’aménagement et aux processus de développement des villes et des territoires. Il s’agira également d’investir des éléments de méthodes simples pour mieux comprendre le rapport entre économie et géographie : décrire, interpréter, analyser l’organisation des activités économiques dans l’espace et les inégalités socio-spatiales qui en découlent. L’originalité de cet enseignement tient également dans sa partie prospective sur les nouvelles formes d’économie et leur impact sur la société et les territoires. Enfin, le cours s’attache à sensibiliser les étudiants au rôle que peut jouer le territoire et ses acteurs dans les processus de développement et dans les initiatives de changement. Le cours est organisé autour de grands sujets thématiques, traités sur une ou plusieurs séances et en TD.

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A partir des années 1990, le développement des travaux sur la métropolisation naît du constat de la prise d’importance considérable et historiquement inédite, d’un nombre limité de très grandes villes, formant à l'échelle mondiale un système basé sur la concurrence et la complémentarité. La métropolisation s’inscrit au croisement de plusieurs processus qui interviennent pour certains sur un temps plus long, tels que l’urbanisation planétaire, la mondialisation, le développement de l'économie informationnelle. Dans ce cours nous verrons certaines des grandes caractéristique de cette métropolisation, et ses conséquences, à travers plusieurs thématiques telles que les relations Nord-Sud, les espaces publics, les mobilités, la fragmentation urbaine, la gouvernance des espaces urbains.

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Constituée de 20 h de CM et de 10 h de TD (5 séances de 2h), cette UE a pour objectif de se concentrer sur l’histoire de l’aménagement des territoires. Si la France demeure le point de référence et de repère constant, le cours considère le temps long, la variété des contextes et des échelles. L’objectif, pour un cours de L2 est bien évidemment de saisir la variété des formes, des stratégies et des modalités d’action « volontaire et réfléchie d’une collectivité » (Brunet et al., 1992 : 29), quel que soit le niveau de compétence, sur un territoire politique. Il s’intéresse également à la manière dont ces formes, les principes, les stratégies et les modalités d’action ont été historiquement envisagées, dans différents contextes culturels ou idéologies ou sous des régimes politiques variés. Ouvrir le regard sur les pratiques de planification et sur une histoire de l’aménagement des territoires, appropriés par différentes sociétés humaines, permet également de mieux saisir l’originalité et la singularité de l’aménagement du territoire en France.

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires en particulier dans le domaine de la géographie.

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A la suite de l'UE du premier semestre, ce second niveau abordera plus spécifiquement les techniques d'enquêtes quantitatives et qualitatives, de la collecte des données par différentes méthodologies (questionnaires, entretiens) à leur traitement statistique et sémantique.

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L'objectif de cette UE est de présenter une grande région du monde (qui peut changer d'une année sur l'autre) de comprendre son organisation interne, son intégration dans la mondialisation et ses différentes dimensions du point de vue de la géographie humaine et sociale

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires.

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La vocation pédagogique de cet atelier est de mettre les étudiants en situation de comprendre, sur un territoire, les enjeux de son aménagement et de son développement à partir d'une enquête de terrain. Il fera donc l'occasion d'un séminaire de plusieurs jours et/ou d'une enquête sur un cas particulier.

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L'activité touristique a structuré et organise les territoires par des équipements dédiés, des mobilités diverses et variées ; des temporalités multiples participent du processus. L’UE Aménagement, nouvelles cultures territoriales et touristiques aborde les dimensions historiques, géographiques et sociologiques du tourisme, avec des apports théoriques et conceptuels, et questionne son ancrage, son adaptation au monde actuel par des études de cas dans les espaces littoraux, de montagne, ruraux mais aussi urbains, en France et à l'étranger. Les innovations concernant l’activité sont observées comme levier d’évolution et de transformation des pratiques et du territoire.

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Peut-on résumer les inégalités socio-spatiales à l’existence d’une fracture territoriale ? La réponse est non ! Les inégalités socio-spatiales sont plurielles. Elles sont au cœur de l’actualité médiatique car souvent associées à des sentiments d’injustice. Elles évoluent dans le temps, s’exacerbent ou se contractent à la faveur de facteurs divers. Ce cours vise à appréhender les différentes formes d’inégalités socio-spatiales et leurs géographies, à différentes échelles ; ceci en mobilisant plusieurs indicateurs pour les objectiver au mieux. Il vise aussi à échanger avec les étudiant.e.s à propos du rôle de l’aménagement dans la formation et la correction de ces inégalités en questionnant l’action publique et ses instruments. Le cours aborde différentes ingalités socio-spatiales (inégalités socio-économiques, inégalités d’accessibilité aux services et équipements (services publics, services de proximité, santé, éducation), inégalités environnementales). 

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Dans un contexte où les territoires de montagne sont fortement affectés par les changements globaux, les acteurs de l’aménagement s’interrogent quant à leur devenir et aux transitions à conduire. Ce cours vise, en s’appuyant sur des séances interactives, en CM comme en TD, à permettre aux étudiant.e.s de : 
- Appréhender et analyser le contexte social, environnemental et historique dans lequel se trouve un aménagement de montagne ;
 - Nommer et analyser les événements clés qui ont façonné les montagnes actuelles ;
- Expliquer les idées ou les concepts qui ont entrainé des changements de paradigmes dans la manière d’aménager les espaces montagnards ;
- Justifier les relations et pratiques des sociétés avec leurs montagnes ;
- Définir et distinguer les enjeux de la montagne de demain ;
-  Cerner les forces et les vulnérabilités des territoires montagnards.
 Il s’appuie sur diverses ressources (articles scientifiques, articles de presse, vidéos, bibliographie, articles de loi) que les étudiant.e.s sont invité.e.s à consulter en amont des séances. 

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Dans la continuité des enseignements méthodologiques de L1, cette UE abordera les méthodes et outils de création et traitement de l'information géographique, à travers des enseignements couplés de cartographie et de statistiques de niveau intermédiaire (bivariées).

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Ce cours fait un point sur les causes et évolutions récentes du climat (bilan radiatif, effet de serre, température, risques météo-climatiques), leurs forçages sur les écosystèmes, leurs impacts sur les activités et organisations anthropiques (espaces urbains, activités agricoles, santé), ainsi que sur le cadre scientifique et règlementaire international orienté vers l’adaptation, par exemple en lien avec les travaux du GIEC.

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Une fois la notion d’institutions territoriales définie, l’objectif de l’enseignement est de familiariser les étudiants avec les différentes institutions territoriales françaises. Chaque niveau d’institutions (État, régions, départements, communes) est abordé du point de vue de ses caractéristiques géographiques, de son fonctionnement et de ses responsabilités notamment en matière d’aménagement, de développement territorial et d’environnement. Les évolutions tant spatiales qu’organisationnelles (décentralisation, intercommunalité), la capacité d’action des institutions territoriales sont analysées à travers la question des échelles, des espaces (taille, périmètre) et des moyens techniques, financiers et politiques. 

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Apprendre ensemble, par le débat collectif, argumenté scientifiquement et fondé sur des textes, à mettre en œuvre l’analyse géographique, sa démarche et ses concepts, pour comprendre et discuter des faits d’actualité autour d’une thématique transversale.

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A partir des années 1990, le développement des travaux sur la métropolisation naît du constat de la prise d’importance considérable et historiquement inédite, d’un nombre limité de très grandes villes, formant à l'échelle mondiale un système basé sur la concurrence et la complémentarité. La métropolisation s’inscrit au croisement de plusieurs processus qui interviennent pour certains sur un temps plus long, tels que l’urbanisation planétaire, la mondialisation, le développement de l'économie informationnelle. Dans ce cours nous verrons certaines des grandes caractéristique de cette métropolisation, et ses conséquences, à travers plusieurs thématiques telles que les relations Nord-Sud, les espaces publics, les mobilités, la fragmentation urbaine, la gouvernance des espaces urbains.

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires en particulier dans le domaine de la géographie.

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A la suite de l'UE du premier semestre, ce second niveau abordera plus spécifiquement les techniques d'enquêtes quantitatives et qualitatives, de la collecte des données par différentes méthodologies (questionnaires, entretiens) à leur traitement statistique et sémantique.

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L'objectif de cette UE est de présenter une grande région du monde (qui peut changer d'une année sur l'autre) de comprendre son organisation interne, son intégration dans la mondialisation et ses différentes dimensions du point de vue de la géographie humaine et sociale

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires.

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Ce cours aborde les grandes questions géopolitiques et les enjeux géopolitiques du monde actuel en s'appuyant sur des thématiques précises et des espaces concernés par ces questions.

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Peut-on résumer les inégalités socio-spatiales à l’existence d’une fracture territoriale ? La réponse est non ! Les inégalités socio-spatiales sont plurielles. Elles sont au cœur de l’actualité médiatique car souvent associées à des sentiments d’injustice. Elles évoluent dans le temps, s’exacerbent ou se contractent à la faveur de facteurs divers. Ce cours vise à appréhender les différentes formes d’inégalités socio-spatiales et leurs géographies, à différentes échelles ; ceci en mobilisant plusieurs indicateurs pour les objectiver au mieux. Il vise aussi à échanger avec les étudiant.e.s à propos du rôle de l’aménagement dans la formation et la correction de ces inégalités en questionnant l’action publique et ses instruments. Le cours aborde différentes ingalités socio-spatiales (inégalités socio-économiques, inégalités d’accessibilité aux services et équipements (services publics, services de proximité, santé, éducation), inégalités environnementales). 

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Dans la continuité des enseignements méthodologiques de L1, cette UE abordera les méthodes et outils de création et traitement de l'information géographique, à travers des enseignements couplés de cartographie et de statistiques de niveau intermédiaire (bivariées).

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Ce cours fait un point sur les causes et évolutions récentes du climat (bilan radiatif, effet de serre, température, risques météo-climatiques), leurs forçages sur les écosystèmes, leurs impacts sur les activités et organisations anthropiques (espaces urbains, activités agricoles, santé), ainsi que sur le cadre scientifique et règlementaire international orienté vers l’adaptation, par exemple en lien avec les travaux du GIEC.

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Une fois la notion d’institutions territoriales définie, l’objectif de l’enseignement est de familiariser les étudiants avec les différentes institutions territoriales françaises. Chaque niveau d’institutions (État, régions, départements, communes) est abordé du point de vue de ses caractéristiques géographiques, de son fonctionnement et de ses responsabilités notamment en matière d’aménagement, de développement territorial et d’environnement. Les évolutions tant spatiales qu’organisationnelles (décentralisation, intercommunalité), la capacité d’action des institutions territoriales sont analysées à travers la question des échelles, des espaces (taille, périmètre) et des moyens techniques, financiers et politiques. 

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Cet atelier est une initiation à la lecture intégrée du paysage, mettant en relation la géologie, les formes et processus géomorphologiques, les sols et la végétation. Il associe sorties de terrain à la journée (avec observation, relevés et mesures) et travail sur documents, cartes ou en laboratoire, et porte sur des environnements proches de Grenoble.

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Ce cours donne les clés d’interprétation du relief et des dynamiques superficielles, au travers d’une initiation à la géomorphologie structurale (étude des différentes formes de reliefs), aux processus géomorphologiques (processus et formes fluviales, glaciaires, karstiques, etc.) ainsi qu'aux systèmes morphogénétiques. Des TD permettent d’approfondir certains aspects au travers de l’analyse de documents (cartes, photos aériennes, images satellites).

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L'UE «Biogéographie et Pédologie» a pour objectif de donner les bases de la connaissance scientifique, à dominante naturaliste, dans deux domaines : d’une part, l’étude de la répartition des êtres vivants (végétaux et animaux) et des facteurs explicatifs, naturels ou anthropiques et, d’autre part, l’étude des sols et de leur importance écologique (y compris agronomique), à l’interface de la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère et la biosphère. Pour les deux domaines, l’approche est systémique, à la fois spatiale, temporelle et multiscalaire (paysages, éco-pédosystèmes,  types de sols, espèces). L’accent est mis sur la dynamique des espèces et des écosystèmes, ainsi que sur les interrelations de type biotique-biotique et abiotique-biotique. Le CM se divise en quatre grandes parties dont la dernière joue le rôle de synthèse : I) Les végétaux et les animaux : principales caractéristiques morphologiques, physiologiques, relationnelles (au sens écologique) et différentes classifications; II) Les sols : genèse, traits physico-chimiques et typologie; III) Les facteurs écologiques fonctionnels : les facteurs climatiques, les facteurs édaphiques, les facteurs anthropiques; IV) Les biomes planétaires : définitions (biome et pédome, zonalité et intrazonalité, aires chorologiques et notions de richesse spécifique et d’endémisme,…); les biomes subtropicaux (méditerranéens et de façades orientales) et tropicaux ; les biomes tempérés et froids ; l’originalité des biomes montagnards.  

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires en particulier dans le domaine de la géographie.

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A la suite de l'UE du premier semestre, ce second niveau abordera plus spécifiquement les techniques d'enquêtes quantitatives et qualitatives, de la collecte des données par différentes méthodologies (questionnaires, entretiens) à leur traitement statistique et sémantique.

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L'objectif de cette UE est de présenter une grande région du monde (qui peut changer d'une année sur l'autre) de comprendre son organisation interne, son intégration dans la mondialisation et ses différentes dimensions du point de vue de la géographie humaine et sociale

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires.

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Ce TP est exclusivement orienté sur la pratique du terrain, la mise en œuvre de l'instrumentation, et donc l'application des connaissances théoriques acquises dans les différents cours de licence. Plusieurs ateliers sont abordés dans ce TP, deux fondamentaux, la biogéographie et l'hydrologie, mais d'autres thématiques peuvent venir compléter ces ateliers selon les années, la climatologie et la géomorphologie par exemple.

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Ce cours porte sur la forêt française, son histoire, l'écologie forestière, la sylviculture et les différentes usages de la forêt. Il permet aux étudiants d'appréhender les enjeux d'aménagement liés à cette ressource territoriale et d'être sensibilisés à des usages en pleine croissance comme la filière « bois-énergie » mais aussi de comprendre les modifications des paysages forestiers.

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L'UE «Ecologie, Acteurs et Territoires» traite de la place de l’écologie dans l’aménagement des territoires. L’écologie est abordée par son double aspect, scientifique et politique, dans un contexte de crise environnementale, de débat aménagiste et de transition énergétique. Les composantes et les services écosystèmiques constituent des ressources considérables pour l’humanité, tant d’un point de vue socio-économique que culturel. Mais ces ressources, véritable enjeu du développement durable, de l’échelle planétaire à l’échelle locale, sont en danger et leur dégradation s’accélère depuis les dernières décennies. Pourtant de nombreux acteurs tentent de limiter les impacts, de restaurer voire de recréer la nature, y compris par le biais de la difficile internalisation économique. Plusieurs exemples sont développés, notamment dans les Alpes et en Méditerranée.

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Dans la continuité des enseignements méthodologiques de L1, cette UE abordera les méthodes et outils de création et traitement de l'information géographique, à travers des enseignements couplés de cartographie et de statistiques de niveau intermédiaire (bivariées).

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Ce cours fait un point sur les causes et évolutions récentes du climat (bilan radiatif, effet de serre, température, risques météo-climatiques), leurs forçages sur les écosystèmes, leurs impacts sur les activités et organisations anthropiques (espaces urbains, activités agricoles, santé), ainsi que sur le cadre scientifique et règlementaire international orienté vers l’adaptation, par exemple en lien avec les travaux du GIEC.

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Une fois la notion d’institutions territoriales définie, l’objectif de l’enseignement est de familiariser les étudiants avec les différentes institutions territoriales françaises. Chaque niveau d’institutions (État, régions, départements, communes) est abordé du point de vue de ses caractéristiques géographiques, de son fonctionnement et de ses responsabilités notamment en matière d’aménagement, de développement territorial et d’environnement. Les évolutions tant spatiales qu’organisationnelles (décentralisation, intercommunalité), la capacité d’action des institutions territoriales sont analysées à travers la question des échelles, des espaces (taille, périmètre) et des moyens techniques, financiers et politiques. 

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires en particulier dans le domaine de la géographie.

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A la suite de l'UE du premier semestre, ce second niveau abordera plus spécifiquement les techniques d'enquêtes quantitatives et qualitatives, de la collecte des données par différentes méthodologies (questionnaires, entretiens) à leur traitement statistique et sémantique.

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L'objectif de cette UE est de présenter une grande région du monde (qui peut changer d'une année sur l'autre) de comprendre son organisation interne, son intégration dans la mondialisation et ses différentes dimensions du point de vue de la géographie humaine et sociale

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Cette UE permet de pratiquer l'anglais à l'oral et à l'écrit et de se spécialiser dans l'anglais des professionnels et des universitaires.

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Outils de conception et de représentation DAO 1 est un TD de 10 séances de deux heures qui propose de se saisir de l’outils informatique 
pour communiquer en 2 dimensions des sujets liés au territoire ou à la ville, tant pour l’analyse que pour le projet.
À travers la découverte du logiciel Adobe Illustrator, les étudiants aborderont la représentation du territoire en plan et en coupe. 
Les exercices se concentreront sur la représentation graphique (non textuelle) en interrogeant le point, la ligne ou la surface et le dessin manuel. 
Les TD sont menés en partant « d’une page blanche », sans transmission de fichier numérique 
afin d’autonomiser les étudiants dans la production graphique, en s’appuyant sur des données numériques disponibles sur le web.

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Axé sur la pratique, les étudiants apprendront à utiliser le logiciel libre QuantumGIS et mettront en œuvre les notions acquises sur les SIG vecteurs et rasters pendant le cours. Le cours est articulé autour d’exemples concrets et d’exercices ayant trait aux thématiques des différents parcours de la Licence 3.

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Outils de conception et de représentation DAO 2 est un TD de 10 séances de 2 heures qui propose 
de se saisir de l’outils informatique pour communiquer en 3 dimensions des sujets liés au territoire ou à la ville, 
tant pour l’analyse que pour le projet.
À travers la découverte du logiciel Sketchup, les étudiants aborderont la représentation du territoire en 3D. 
Les exercices se concentreront sur la production de maquettes numériques, interrogeant la surface et le volume. 
Dans un deuxième temps, les maquettes seront retravaillées avec le logiciel Adobe Photoshop, pour produire une image.

Les TD sont menés en partant « d’une page blanche », sans transmission de fichier numérique afin d’autonomiser les étudiants dans la production graphique, 
en s’appuyant sur des données numériques disponibles sur le web.

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En prévision de la validation de la compétence "Compréhension écrit" en M1 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger la pratique orale, le S5 se focalise sur divers aspects de la lecture de textes de recherche géographique en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Ce cours présente la notion de développement durable à partir des aspects suivants : -présentation des problèmes environnementaux planétaires -présentation du lien entre ces problèmes environnementaux et le système économique dominant - présentation de l'ossature du système économique dominant -présentation d'une architecture pour un système économique durable

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En prévision de la validation des compétences "Présentation orale sur un sujet disciplinaire" et "Prise de notes à l'oral" en M2 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger l'écrit, le S6 se consacre principalement au langage et aux techniques des présentations orales géographiques en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Axé sur la pratique, les étudiants apprendront à utiliser le logiciel libre QuantumGIS et mettront en œuvre les notions acquises sur les SIG vecteurs et rasters pendant le cours. Le cours est articulé autour d’exemples concrets et d’exercices ayant trait aux thématiques des différents parcours de la Licence 3.

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L'atelier a pour objectif d’accompagner les étudiant.e.s dans l’utilisation des méthodes et outils de l’analyse territoriale. Un premier temps de l’atelier basé sur l’étude de documents de planification (PLUI, SRADDET, SCOT, Plan Climat Energie) permet aux étudiant.e.s de saisir la place du diagnostic, son rôle dans la planification ainsi que les différentes formes qu’il peut revêtir en soulignant les échelles d’observation pouvant être choisies, les thèmes pouvant être traités et les données mobilisées (ainsi que les indicateurs retenus des plus simples aux plus complexes). La suite de l’atelier repose sur la réalisation d’un diagnostic territorial commun à tout le groupe. Après avoir choisi le cas d’étude (parmi les derniers, Bordeaux, Guyane, La Réunion) à l’échelle du groupe, chaque binôme travaille tout au long du semestre sur une thématique du diagnostic proposé par l’enseignant.e  (par ex. démographie, inégalités sociales, dynamiques économiques, problématiques environnementales …) en mobilisant des compétences statistiques et cartographiques. 

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En tant que discipline académique et pratique opérationnelle cherchant à orienter les trajectoires de développement des villes et des territoires, l’aménagement est systématiquement confronté aux effets qu’il produit tant sur la société que sur l’environnement. Dans cette perspective, cette action, inscrite dans une diversité d’interventions, est sans cesse discuter et fait l’objet de débats, de remises en cause voire de conflits sinon permanents du moins réguliers. Ce sont ces éléments que l’enseignement ambitionne de présenter et d’approfondir en CM et en TD afin que les étudiant.e.s puissent réfléchir à leur position dans le champ de l’aménagement tant d’un point de vue théorique que de  celui de la pratique.   

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Objectif
Depuis l’après seconde guerre mondiale, les institutions nationales et internationales, ainsi que le monde académique, ont tour à tour parlé de pays développés, en voie de développement et sous-développés, de développement local, de développement humain, de développement durable ou de développement territorial. Les politiques publiques de ces dernières décennies ont été fortement marquées par cette vision du progrès, ce qui a parfois été dénoncé comme la poursuite logique d’une vision occidentale du progrès.
Afin d’y voir plus clair, ce cours se propose de tracer l’histoire qui mène au concept de développement, puis de ses déclinaisons.
Cette mise en perspective est suivie par une seconde partie qui va plus dans les détails en particulier sur le développement durable, le développement local et le développement territorial. Sont présentées les caractéristiques de ces déclinaisons du développement, ainsi que les implications en termes de politiques publiques et d’action collective. En particulier, cette partie vise à montrer en quoi les territoires peuvent s’appuyer sur des ressources locales pour améliorer la qualité de vie des résidents d’une collectivité, d’un quartier ou d’une région. Ces ressources prennent plusieurs formes, des ressources humaines aux ressources environnementales.
Dans un troisième temps nous remettons en perspective le concept de développement et sa représentation dans d’autres contextes socio-culturels de par le monde. Afin de bien comprendre ces alternatives culturelles au développement, les travaux en anthropologie de Ph. Descola sur la diversité des relations des humains avec ce qui les entoure sont mobilisés. Sont ensuite présentées d’autres façons de concevoir les questions économiques, environnementales ou sociales de par le monde. Outre la perspective occidentale d’envisager cette question avec la décroissance, nous présentons le Buen Vivir, le Swaraj écologique, l’Ujama. 
Plus globalement, le cours oscille entre théorie et pratique (exemples ou études de cas situés en France et à l’international) pour familiariser les étudiants avec les concepts (approches) comme avec les actions (moyens) du développement territorial.

Contenu
I. Le développement : Histoire du concept et conséquences politiques de son expansion 
A. Ce que présuppose le développement
B. La justification des politiques de développement après 1945
C. La notion de besoin
II. Les déclinaisons du développement :
II.1. Développement local
II. 2. Développement territorial
II.3. Développement durable
III. Le « développement » dans le reste du monde : Quelles alternatives ?

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Les étudiants sont sensibilisés aux enjeux de la participation à travers les notions et concepts, ainsi que le contexte (politique, institutionnel, lié aux aspirations des citoyens) puis leur sont présentés les degrés de participation, les types de processus et démarches à travers des exemples de pratiques et de dispositifs concrets, d’actions entreprises et de réalisations.

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En prévision de la validation de la compétence "Compréhension écrit" en M1 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger la pratique orale, le S5 se focalise sur divers aspects de la lecture de textes de recherche géographique en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Le stage variera en fonction du projet professionnel de l'étudiant. La préparation et la méthodologie seront abordées au cours du semestre 5. L'encadrement se prolongera au S6 avec le suivi et la réalisation d'un rapport et son évaluation.

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Cette UE initie les étudiants aux méthodes d’analyses statistiques multivariées appliquées à des données géographiques : ACP, AFC et CAH. Elle se compose d’une partie de cours magistraux expliquant les principes statistiques des analyses multivariées et fournissant les clés d’interprétation des résultats, puis d’une partie pratique se déroulant sur machine. Les étudiants sont ainsi amenés à traiter et analyser différents jeux de données spatialisées contenant de nombreuses variables ; les données sont traitées via l’interface Rcmdr. L’objectif attendu en fin de séance est d’être capable d’expliquer les liens entre les différentes variables et individus, puis de cartographier les individus en fonction de leur profil statistique.

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Plan du cours :
1. Définitions des ruralités
2. Image et perception du monde rural
3. Nouvelles dynamiques démographiques et socio-économiques
4. Nouvelles fonctions rurales
5. Action publique dédiée aux espaces ruraux
6. Prospectives rurales.

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Ce cours vise à appréhender la figure du projet de territoire à travers son histoire, de son émergence à sa situation actuelle, ses intérêts et limites ainsi que ses acteurs. Il dresse également, dans une perspective plus opérationnelle, un panorama des ressources et méthodes mobilisables aux différentes étapes du projet, de son élaboration à sa mise en œuvre. Plan du cours :
1. Origines
2. Aujourd’hui
3. Diagnostic
4. Dialogue territorial
5. Elaboration du projet
6. Mise en œuvre, suivi et évaluation

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Après avoir rappelé le cadre géographique dans lequel s’inscrit l’action de l’Union européenne (UE) en matière de développement territorial, d’aménagement et d’environnement, l’enseignement présente les grandes lignes de cette action et, plus particulièrement, la politique dite de cohésion de l’UE, celles des transports, de l’environnement et du développement rural. La mise en œuvre de cette action, de l’échelle européenne à l’échelle locale, ainsi que son évaluation, sont également abordées. Enfin, une approche comparative portant sur les évolutions des systèmes nationaux d’aménagement en Europe est développée à travers plusieurs exemples de pays européens.   

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En prévision de la validation des compétences "Présentation orale sur un sujet disciplinaire" et "Prise de notes à l'oral" en M2 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger l'écrit, le S6 se consacre principalement au langage et aux techniques des présentations orales géographiques en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Axé sur la pratique, les étudiants apprendront à utiliser le logiciel libre QuantumGIS et mettront en œuvre les notions acquises sur les SIG vecteurs et rasters pendant le cours. Le cours est articulé autour d’exemples concrets et d’exercices ayant trait aux thématiques des différents parcours de la Licence 3.

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Pour l'option biogéographie il est proposé  de comprendre la dynamique paysagère à l'aide d'observations et de mesures de terrain. La méthode de travail est fondée à la fois sur l'approche historique mais également sur des observations naturalistes. L’option cartographie géomorphologique utilise l’outil de la cartographie géomorphologique pour le relevé détaillé des formes de terrain et comme support à l’interprétation du relief et des dynamiques superficielles. L’atelier se passe en montagne au cours d’un atelier de trois jours sur le terrain.

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Un premier volet aborde les espaces équatoriaux humides, en discriminant les grands ensembles forestiers américains, africains et asiatiques, leurs origines, leurs contraintes bio-géophysiques ainsi que leur rôle dans les mécanismes d’échelle régionale, synoptique ou planétaire. La suite du cours détaille les causes et conséquences de la déforestation de ces forêts tropicales humides, en s’appuyant à la fois sur des études in situ et géohistoriques, mais aussi sur la surveillance environnementale par télédétection. Une analyse de l’évolution des ressources provenant des forêts équatoriales et des risques socio-environnementaux associés est également menée.      
Un second volet du cours analyse les espaces tropicaux secs, en rappelant leur origines et localisation, ainsi que les mécanismes climatiques à l’origine. Une typologie des climats régionaux est présentée, ainsi que des conditions et contraintes hydrologiques et géomorphologiques, qui définissent ces écosystèmes secs. Plusieurs exemples régionaux sont ensuite étudiés pour définir la gestion des ressources, en décrivant les mécanismes à la fois naturels mais aussi en lien avec les aménagements anthropiques, notamment à l’échelle saharienne mais également à partir d’autres cas spécifiques.
Un troisième volet présente les risques sanitaires dans les Suds en lien avec la variabilité hydroclimatique (pathologies hydriques) ou les extrêmes thermiques (vagues de chaleur), et en analysant des exemples régionaux en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique. Un objectif est d’étudier l’origine, la gestion et les impacts de ces épisodes.

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L’objectif du cours est de mettre en cohérence et en relation les notions de climatologie, d’hydrologie, de géomorphologie et de biogéographie dans une optique systémique, appliquée aux milieux de montagne, et articulée autour des concepts de géosystème, d’orocomplexe et de zone critique. Il aborde la dynamique des processus en montagne, les relations processus-végétation, les étagements  morphoclimatiques et bioclimatiques, ainsi que les notions d’équilibre et de crise.

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Cette UE apporte les bases de la télédétection pour la cartographie d’occupation et d’usage des sols appliquée à différents milieux. Les traitement sont réalisés sur un logiciel dédié et différentes données satellites sont mobilisées au cours du TP

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En prévision de la validation de la compétence "Compréhension écrit" en M1 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger la pratique orale, le S5 se focalise sur divers aspects de la lecture de textes de recherche géographique en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Le stage variera en fonction du projet professionnel de l'étudiant. La préparation et la méthodologie seront abordées au cours du semestre 5. L'encadrement se prolongera au S6 avec le suivi et la réalisation d'un rapport et son évaluation.

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Cette UE aborde les principales causes régissant la variabilité océano-atmosphérique globale, via deux approches complémentaires : l’observation et la modélisation climatique. Ces bases permettent de voir comment les projections du climat sont construites, d’en déterminer leur part d’incertitude, et de comprendre en quoi elles répondent à différentes utilisations environnementales et sociétales.

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Cette UE approfondit un type de processus morphodynamique spécifique aux milieux de montagne, en abordant de façon détaillée la typologie, les mécanismes, les formes et les méthodes d’étude. Une sortie de terrain permet d’aborder un exemple au travers d’un relevé cartographique détaillé. Le cours peut porter selon les années sur les mouvements de terrain, les phénomènes torrentiels, les milieux glaciaires ou périglaciaires d’altitude.

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En prévision de la validation des compétences "Présentation orale sur un sujet disciplinaire" et "Prise de notes à l'oral" en M2 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger l'écrit, le S6 se consacre principalement au langage et aux techniques des présentations orales géographiques en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Axé sur la pratique, les étudiants apprendront à utiliser le logiciel libre QuantumGIS et mettront en œuvre les notions acquises sur les SIG vecteurs et rasters pendant le cours. Le cours est articulé autour d’exemples concrets et d’exercices ayant trait aux thématiques des différents parcours de la Licence 3.

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Cette UE présente les théories qui structurent les recherches en science sociales. Il ne s'agit pas ici de présenter pour chaque discipline les éléments qui les définissent mais plutôt de montrer quelles sont les théories qui traversent l'ensemble du champ : le structuralisme, le paradigme actoriel, l'écologie politique...

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Dans cette UE, le XIXème siècle (entendu comme le "long" XIXème siècle - de 1789 à 1914) va être étudié sous l'angle politique même s'il s'avèrera indispensable d'aborder les dimensions économiques et sociales et les relations internationales pour en prendre toutes les dimensions.

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En prévision de la validation de la compétence "Compréhension écrit" en M1 (niveau B2 de l'échelle CECR), et sans négliger la pratique orale, le S5 se focalise sur divers aspects de la lecture de textes de recherche géographique en anglais. Travail lexique: au moins un thème de géographie humaine et un de géographie physique seront abordés en cours.

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Le stage variera en fonction du projet professionnel de l'étudiant. La préparation et la méthodologie seront abordées au cours du semestre 5. L'encadrement se prolongera au S6 avec le suivi et la réalisation d'un rapport et son évaluation.

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Dans cette UE, le XXème siècle (de 1914 à nos jours) va être étudié dans ses dimensions politiques. Les aspects économique, social,internationale et environnementale seront aussi abordés pour comprendre toutes les dimensions "politiques" de ce siècle. L'étude ne se centrera pas que sur la France mais aura aussi une dimension mondiale.

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Cette UE initie les étudiants aux méthodes d’analyses statistiques multivariées appliquées à des données géographiques : ACP, AFC et CAH. Elle se compose d’une partie de cours magistraux expliquant les principes statistiques des analyses multivariées et fournissant les clés d’interprétation des résultats, puis d’une partie pratique se déroulant sur machine. Les étudiants sont ainsi amenés à traiter et analyser différents jeux de données spatialisées contenant de nombreuses variables ; les données sont traitées via l’interface Rcmdr. L’objectif attendu en fin de séance est d’être capable d’expliquer les liens entre les différentes variables et individus, puis de cartographier les individus en fonction de leur profil statistique.

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