UE Histoire et représentations 4

Structuré en deux parties, consacrées respectivement aux arts de la scène et au cinéma, le cours dresse un état des lieux des environnements professionnels des spectacles vivant et enregistré en France, qu’il articule à une mise en perspective historique des politiques publiques afférentes, de manière à revenir sur les fondements de l’économie administrée des spectacles en France. Il s’intéresse au fonctionnement global des d’entreprises assurant la production et la diffusion de spectacles dans notre pays, et aux logiques économiques auxquelles ces dernières &@sont soumises selon la nature de leurs activités et leurs rapports aux pouvoirs publics. Il examine également les caractéristiques de l’emploi dans le spectacle, en interrogeant les spécificités du régime des intermittents du spectacle et du statut d'auteur.

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En s’appuyant sur des études d’extraits ou d’œuvres complètes françaises et européennes, ce cours propose un panorama sur les auteurs dramatiques du XIX^e siècle et du début du XX^e siècle que les metteurs en scène contemporains choisissent encore de monter aujourd’hui, comme Hugo, Musset, Buchner, Ibsen, Strindberg, Tchékhov, Maeterlinck, Claudel, Jarry, Apollinaire, Pirandello, etc.

L’accent est mis sur la mise en crise de la forme dramatique traditionnelle à l’œuvre dans les dramaturgies romantiques, naturalistes, symbolistes, surréalistes, etc., tout autant que sur les défis posés aux acteurs et décorateurs par des pièces ressenties comme « hors norme », au XIX^e siècle comme de nos jours.

En fonction de la programmation théâtrale et filmique de l’année, des adaptations théâtrales, dansées ou filmiques peuvent aussi être abordées.

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Le cours présentera un panorama de l’Histoire du cinéma de 1990 à nos jours.

Il privilégiera plusieurs cinématographies non « occidentales » : par exemple chinoise (Jia Zhangke), taïwanaise (Hou Hsiao Hsien), iranienne (Abbas Kiarostami)…

Seront également abordées des figures originales du cinéma américain (Terrence Malick, Paul Thomas Anderson, par exemple), ou japonais (Kiyoshi Kurosawa), notamment.

L’évolution des technologies, plus singulièrement numériques, sera aussi abordée dans leurs implications esthétiques.

Le cours n’offrira pas une approche uniquement historienne, resituant les œuvres dans leur contexte de production, mais s’appuiera sur une analyse esthétique des séquences jalonnant la période.

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