Master Sciences de l'éducation et de la formation

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L’objectif du cours est de présenter l’approche didactique de la formation professionnelle. Après avoir défini son objet d’étude (former à un métier) nous parcourons les fondements à partir desquels ce domaine s’est constitué (principalement didactique des mathématiques, psychologie du développement, psychologie du travail, ergonomie cognitive) en montrant les filiations et les adaptations réalisées. Nous étudions ensuite les résultats principaux du domaine (modèles pour l’analyse du travail ; transposition didactique ; simulations...). Les apports du cours sont complétés par des lectures analytiques de textes qui sont préparées par les étudiants

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Nowadays, educational technologies and traditional textbooks not only exploit text and pictures, but also animations, videos, diagrams, graphics, photos, and more. A large body of research aims at studying the effects of spatial and temporal arrangement of these multiple media on learning in various contexts, and in particular as a function of a given task, such as reading, searching information, or problem solving. In this course, we examine several relevant areas of research, including cognitive psychology of education, applied cognitive psychology, distributed cognition, and cognitive ergonomics. Students will be asked to seek for, select, and present a scientific article in the field.

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Les enseignements et supports d'apprentissage numériques à distance se développent de plus en plus notamment dans le champ de la formation professionnelle. Au cours de cet enseignement, l'e-learning sera abordé sous différents formats (MOOCs, serious games, applications d'entraînement, apport de l'intelligence artificielle...). Les spécificités de ces formats seront présentées, leurs apports ainsi que leurs contraintes. Les modèles d'acceptabilité et d'expérience utilisateur seront également mobilisés afin de discuter des usages effectifs du e-learning.

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Ce cours vise à présenter les principales théories de la psychologie de la motivation en contexte scolaire. Il aborde les déterminants et les conséquences des différentes motivations ainsi que les processus qui y sont associés (perception de soi, attribution, autorégulation).Après avoir défini ce que l’on entend par motivation, nous fournirons un état de l’art des travaux conduits dans ce champ de recherche en nous attelant à décrire les principaux concepts permettant de comprendre ce processus dynamique. L’attention sera ainsi centrée sur ce que la psychologie sociale peut offrir pour mieux appréhender les dimensions et le développement de la motivation des élèves en contexte scolaire.Par la suite, nous reviendrons sur la manière dont les théories - développées à l'origine pour expliquer la motivation des élèves - ont été adaptées pour s'appliquer à l’étude de la motivation des enseignants. Des liens seront faits entre ces théories et certaines problématiques professionnelles liées à l'éducation. En abordant certaines formes d'intervention issues de la recherche, ce cours montre également quelles peuvent être les implications de ces travaux pour les décideurs et praticiens de l'éducation.

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L’objectif de ce cours est de présenter un ensemble de travaux en psychologie sociale de l’éducation qui traite de la régulation sociale des fonctionnements cognitifs. L'idée selon laquelle les résultats scolaires révèlent les caractéristiques intrinsèques des élèves est largement partagée dans la population. Il est souvent fréquent d'attribuer les difficultés scolaires de certains élèves à leur seul déficit de compétence ou de motivation et les réussites d’autres à des compétences élevées ou de fortes aptitudes. Une telle conception néglige une caractéristique fondamentale des comportements de performance scolaire, celle d'être contextualisée. Dans le cadre de ce cours, une attention particulière sera consacrée aux travaux en psychologie sociale qui ont largement montré que les performances intellectuelles sont sensibles aux caractéristiques du contexte de leur production. Nous présenterons des recherches montrant comment les indices évaluatifs fournis dans le contexte d’enseignement (la classe) définissent la valeur scolaire des élèves et par ce biais régulent leur comportement, leur apprentissage et leur performance. Ses travaux étudient l’impact des croyances individuelles (autobiographiques) et sociales (stéréotypes), en particulier des mauvaises réputations, de la stigmatisation, et les effets de contexte sur l’image de soi et les performances cognitives (scolaires) des apprenants. Ils s’inscrivent dans une perspective sociocognitive impliquant l’individu (l’apprenant), l’objet (la tâche à réaliser, la performance cognitive) et les conditions sociales du rapport à cet objet (contexte, rôle des pairs, positions sociales). Cela nous conduira à revenir aussi sur un ensemble de travaux sur le jugement des enseignants et ses effets sur l’auto-évaluation de soi des élèves. Nous verrons qu’au-delà de l'enjeu scientifique, ces travaux posent une question capitale, celle de l'utilisation des contextes à des fins pédagogiques. Ce point est crucial puisque les enseignants n'exercent que peu de contrôle sur les caractéristiques intrinsèques des élèves ou sur celles de leur environnement familial/culturel mais ils disposent, en revanche, d'une maîtrise plus importante du contexte de la classe. L'intervention sur les caractéristiques de ces contextes devient alors un levier pédagogique susceptible de favoriser la réussite des élèves les plus en difficulté. Les séances de TDorganisées sous forme d’un séminaire d’une ou deux journées, seront l’occasion pour les étudiants de présenter à leur pair une étude publiée et choisie dans la littérature spécialisée, de défendre son intérêt et d’en poser les limites. Cette présentation sera faite sur la base des critères des communications scientifiques en proposant une ouverture personnelle tant sur le plan théorique que pratique. Les aptitudes visées : Les étudiants devront être capables de maîtriser et de situer théoriquement des notions essentielles comme le concept de soi, l’auto-efficacité, la comparaison sociale, les effets de contexte, la stigmatisation, la menace du stéréotype et la construction sociale des réputations. Ils devront également être capables de comprendre comment ces notions s’articulent pour influencer les apprentissages et les performances

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Les sciences proposent des modèles des phénomènes qu’elles étudient. Mais qu’est-ce qu’un modèle ? Nous verrons apparaître à travers l’étude de quelques définitions quatre caractères de la notion de modèle : la valeur locale, le lien analogique, le paradoxe fidélité/autonomie et l’exigence de cohérence interne. Nous définirons ces caractères et discuterons de ce qu’ils impliquent en termes de méthode.

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L’enseignement de statistiques aborde les principes qui sous-tendent certaines techniques psychométriques. Après un rapide rappel sur les statistiques descriptives et les statistiques inférentielles, ce cours présente les techniques permettant de déterminer et tester la dimensionnalité d’un test. Il abordera les techniques d’analyse factorielle, l’alpha de Cronbach ou les modèles de réponse à l’item. Des applications sur machine seront proposées à l’aide du logiciel R ou de logiciels fondés sur R proposant une interface graphique. Il s’agit donc d’outiller les étudiants pouvant être amenés à mener des recherches quantitatives, à mobiliser des résultats de recherche incorporant des techniques statistiques et à concevoir des tests.

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Mise en pratique des compétences de compréhension et d'expression écrites et orales, dans le cadre des thématiques de spécialité. L'accent est mis sur l'expression orale.

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Cette UE vise à faire acquérir aux étudiant·e·s les notions et problématiques fondamentales autour desquelles s’articulent les travaux relevant de la sociologie des professions. Seront présenté à la fois les textes et ouvrages fondateurs de cet espace de recherche particulier ainsi que les travaux empiriques et théoriques les plus récents. L’enjeu sera double : - il s’agira premièrement de fournir les outils pour comprendre et problématiser les processus de structuration des groupes professionnels afin de pouvoir se positionner en tant que potentiel·le intervenant·e ; - deuxièmement, d’analyser les pratiques professionnels des formateur·rice·s/enseignant·e·s du point de vue de la sociologie des professions afin de doter les étudiant·e·s d’outils réflexifs quant à leur future activité professionnelle.

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Cet enseignement sur le droit à la formation professionnelle présente des éléments historiques et législatifs de l’établissement de ce « nouveau droit de l’homme » (Santelmann, 2001). Il fournit aux étudiants les clés de compréhension des dispositifs actuels.

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L’objectif de ce cours est l'acquisition de connaissances sur les mécanismes cognitifs qui sont à l’œuvre dans la compréhension du langage chez l’adulte. En effet, la compréhension du langage est une activité cognitive complexe et multidimensionnelle qui demande de mobiliser à la fois des habiletés dites de bas niveaux (e.g. identification des mots) et des habiletés de plus hauts niveaux qui conduisent à la construction d'une représentation mentale cohérente du discours et permettent par exemple, d’évaluer la fiabilité d’une information. Depuis une cinquantaine d’années, les recherches sur la compréhension du langage ont permis le développement de modèles du fonctionnement cognitif de l'activité de compréhension. Ces modèles seront abordés pour examiner comment ils articulent habiletés de bas et de hauts niveaux pour rendre compte des processus de compréhension du langage et comment ils peuvent expliquer certaines difficultés de compréhension de la langue. Au cours des TD, les étudiants seront amenés à étudier comment ces modèles sont mobilisés dans un cadre expérimental en analysant des articles scientifiques.

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Ce cours consiste en un commentaire d’une dizaine de textes classiques qui portent sur la notion de signe : Arnauld et Nicole, Saussure, Frege, Peirce, Piaget, Barthes, Grice... Ces auteurs ont tous, tour à tour, posé la question sémiotique d’une manière novatrice et leurs analyses ont eu une grande influence. En revisitant ces textes anciens ont trouvera de la modernité et la plupart des façons actuelles de concevoir ce qu’est un signe. A chaque occasion, nous mentionnerons comment s’articulent dans ces perspectives théoriques, le signe, la connaissance et sa transmission.

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L’objectif de ce cours est de familiariser les étudiants avec les questionnements, les méthodes et les résultats des travaux issus du courant de recherche dit de « l’efficacité de l’enseignement ». On présentera dans ce cours des travaux qui évaluent les effets des pratiques, processus ou dispositifs d’enseignement sur les apprentissages des élèves. On montrera que ces travaux fournissent des instruments d’analyse des pratiques d’enseignement et qu’ils questionnent en retour sur les processus d’apprentissage des élèves. On en étudiera les principes et les limites et on abordera les questions des effets-enseignants, effets-classes et effets-écoles.

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L’approche par compétences a pris ces dernières décennies une importance grandissante, tant dans les entreprises que dans le monde académique. Ce cours retrace l’histoire de cette évolution, aborde les débats autour de la notion de compétence, et décortique les enjeux de la référentialisation des formations.

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Après 12 heures de cours sur les fondements de l’analyse du travail pour la formation, de modélisation, de transposition et d’ingénierie didactique, les étudiants appliquent ces notions en TD en réalisant un travail de terrain sur une activité professionnelle de leur choix (métier de proximité).

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Ce cours commence par un aperçu des différentes technologies éducatives pour la formation. Les dimensions pertinentes pour les caractériser sont 1) leur fondement théorique. Nous pouvons distinguer les perspectives comportementaliste, cognitiviste, constructiviste et socio-constructiviste. 2) l'activité principale sollicitée, 3) le point de vue sur les connaissances et les compétences du domaine. Les étudiants conçoivent ensuite un module de formation pour une sous-tâche en prenant appui sur leur travail de TD réalisé en cours d'ingénierie didactique de la formation professionnelle. La démarche de conception permet d'interroger les modalités de l'interaction (rôle de l'aléatoire, niveau de guidage, fidélité, définition de niveaux) et leur rôle dans la formation.

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Cette UE traite des principaux axes liés à la conception et à la mise en œuvre des dispositifs de formation. Seront notamment abordés : savoir se situer dans un disposition de formation professionnelle, l’élaboration des politiques de formation dans le contexte actuel, les méthodes d’ingénierie appliquées aux projets de développement social, les démarches et outils de diagnostic et d’analyse des besoins de formation et l’ingénierie des apprentissage et l’ingénierie pédagogique.L’UE alterne apports théoriques et étude d’un cas pratique conçu à partir d’activités professionnelles réelles (travail noté pour l’évaluation de l’UE)

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Ancré dans le champ de la psychologie sociale, ce cours se propose d’aborder la conception et l’évaluation des dispositifs de formation. Les savoirs théoriques et méthodologiques présentés dans cet enseignement seront mobilisés dans une perspective d’application afin de développer chez les étudiants des compétences d’ingénierie de formation. La présentation d’exemples d’études réalisées dans le domaine médical illustrera la démarche attendue. Les étudiants seront amenés à concevoir des dispositifs de formation, des outils permettant d’évaluer et d’améliorer leur efficacité en se basant sur la méthodologie de la recherche et sur les théories de la psychologie sociale.

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Cet enseignement présente les fondements de la Gestion Prévisionnelle des Compétences : histoire, cadre légal, acteurs, rôle pour l’entreprise. Il détaille les principaux outils liés au pilotage de la démarche et à sa mise en œuvre.

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Après avoir exposé les thèses principales de l'approche ethnométhodologique sur la nature sociale de l'activité de connaissance, ce cours se propose de revisiter le travail d'un concepteur- formateur à la lumière d’un grain d’analyse particulier : celui des mécanismes inter-actionnels attestés dans les situations réelles de travail et de formation. Les étudiants devront recueillir des données filmées issus de situations réelles de travail (technique ou de service) impliquant ou pas plusieurs personnes. A partir de ces enregistrements vidéo et audio et de leurs retranscriptions nous identifierons les méthodes et les ressources que mobilisent les professionnels lorsqu'ils/elles exécutent des activités particulières. Nous verrons par la suite les différentes fonctions que peut remplir ce type d'analyses dans le cadre de la conception d'une formation allant de l'analyse des besoins aux programmes, aux méthodes et aux outils de formation. Compétences visées: maîtrise des thèses principales de l'ethnométhodologie; maîtrise des méthodes de retranscription des données audio-visuelles, leurs avantages et leurs inconvénients; capacité de caractériser les concepts de l'apprentissage et de la transmission selon une perspective ethnométhodologique; capacité d'endosser cette mentalité analytique et produire des ressources issues des activités professionnelles réelles pour la conduite d'un projet en ingénierie de la formation. La liste des lectures obligatoires ou recommandées sera distribuée à la fin de chaque séance.

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La sémiologie didactique étudie l’influence des variables sémiotiques dans les situations d’apprentissage d’une discipline ou d’un métier, et plus précisément, la relation entre la maîtrise des systèmes de désignation d’une connaissance et la maîtrise de cette connaissance elle-même. Cette relation est complexe parce que le principe même de fonctionnement des systèmes de signes est fondé sur la connaissance que les individus qui les utilisent ont de ce qui est désigné... et qu’en situation d’apprentissage les niveaux de connaissance des objets et des signes sont différents entre formateurs et formés. Cela induit d’étonnantes contorsions des langages... On peut prendre de nombreuses entrées pour mieux comprendre ces questions : la représentation et l’acquisition de connaissances abstraites (conversion, figurabilité) ; l’acquisition et le fonctionnement de systèmes sémiotiques de spécialité ; le design de l’information ; la didactisation formelle (couches sémiotiques à visée formative) ; ... Pour faciliter cette étude nous nous appuierons sur l’analyse de supports de formation (livrets, manuels, ...) dans différents domaines de connaissance.

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Le cours se propose d'aborder les différentes conceptions psychosociales du changement comportemental et de les articuler avec les pratiques d'intervention et de formation. A travers un parcours de la littérature, deux grandes voies du changement seront examinées: changer de comportement en jouant sur l'attitude, changer de comportement en jouant sur les possibilités d'engrenage comportemental. Les connaissances théoriques et méthodologiques présentées durant le cours seront utilisées pour aboutir à un travail de réponse à des appels d'offres fictifs. A l'issue du cours, les étudiants devront être capables de développer des stratégies permettant d'augmenter le changement de comportement dans le cadre de dispositifs d'intervention et de formation.

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Les matières de cette UE sont destinées à inscrire les étudiants dans une démarche de recherche. Ils participent aux séminaires mensuels du LaRAC (EA 602 – Laboratoire de Recherche sur les Apprentissages en Contexte) et intègrent progressivement un thème de recherche du laboratoire (voir https://larac.univ-grenoble-alpes.fr/). Ils suivent également un enseignement de modélisation statistique renforcée pour parfaire leur formation méthodologique. Ils pratiquent également l’exercice de présentation orale en langue anglaise.

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Cet enseignement est réservé aux étudiants ayant choisi le parcours Recherche du master. Il consiste en un approfondissement des méthodes statistiques de traitement des données.

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Préparation à la présentation orale en anglais des travaux de recherche des étudiants. Organisation d'un colloque en fin de semestre 2, auquel les directeurs de mémoire sont conviés.

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Les matières de cette UE sont destinées à la professionnalisation des étudiants. Les thèmes abordés leur fournissent des outils indispensables à une insertion professionnelle réussie : aspects financiers de la formation

professionnelle (coût, montage budgétaire, etc.), principes et outils de la digitalisation des formations. Ils assistent à des interventions d’anciens étudiants du master qui viennent présenter leur parcours et leurs missions professionnelles actuelles. Enfin, ils sont préparés à l’exercice du mémoire professionnel, qui demande de combiner un travail effectif en entreprise (UE7 – stage) avec une démarche de réflexion conceptuelle et de mise en œuvre méthodologique rigoureuse (UE8 – mémoire ).

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